EPISTRE.
J’ay donc recüeilli tous
ces évenemens fameux ; mais
pour les rendre plus agreables
à VÔTRE ATLESSE ROYALE
j’ay crû qu’il ne falloit pas
les laisser aussi nuds qu’ils
le sont dans les Chroniques,
qui en font mention ; & que
je devois leur donner les or¬
nemens qui peuvent leur con¬
venir : sans alterer néan¬
moins la verité des faits qui
regardent le fondement de
l’ancienne Maison de Lusi-
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