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Édition des Lettres de Juliette Drouet à Victor Hugo - ISSN : 2271-8923

Accueil > Lettres de Juliette Drouet à Victor Hugo > 1835 > BnF, Mss, NAF 16323, f. 113-114

Dimanche soir, 8 h. ½

Je ne veux pas te faire de reproches, pas plus que je ne te fais de menaces mais tu rends ma vie bien triste, d’heureuse qu’elle devrait être. Mais c’est un parti pris, je ne t’en parlerai plus, je serai courageuse jusqu’au bout. Depuis que tu es parti, je n’ai pas cessé de penser à toi. J’ai essayé de manger mais par un moyen mécanique dont toi seul à le secret, je n’ai pas pu manger. Je me trouve à l’heure qu’il est en possession du plus magnifique mal de tête qui se puisse trouver.

BnF, Mss, NAF 16323, f. 113-114
Transcription de Jeanne Stranart assistée de Florence Naugrette

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