GÉRARD : L’Almanach général des commerçants de Paris et des départements de 1841 recense de nombreux commerçants portant ce nom et officiant non loin de la rue Sainte-Anastase où loge Juliette. Néanmoins, la lettre du 14 mars 1841 à midi permettrait peut-être de penser davantage à un passementier : « Je continue toujours à rager et maugréer ces hideuses filoutes de Gérard, car il est clair comme le jour qu’elles m’ont volé ma belle doublure moirée rouge. Que le diable les emporte, les vieilles voleuses, et qu’il les garde longtemps ».