Paris, 31 juillet [1880], samedi midi
Cher bien-aimé, je tiens à boucler le dernier jour du mois par une bonne restitus souriante et bien tendre malgré les tiraillements physiques et moraux qui m’obsèdent et que je nargue en ce moment le plus que je peux. Entre temps, comme disent les bons Belges, je te fais penser que c’est demain dimanche le 1er août c’est à dire paie générale à toutes les servantes, que tu présides la distribution des prix au Trocadéro, etc., etc. Je crois que tu feras bien de tout préparer (...)