Copie d’une lettre gardée par Paul Souchona
1834
Je t’aime ! Pardonne-moi. Mon huissier pense que cette affaire pourra s’arranger d’ici à jeudi. Je tremble tant que je ne puis pas écrire.
Viens me prendre ce soir chez Mme K. [1]
Je t’aime !
Juliette
BnF, Mss, NAF 16322, f. 296
Transcription de Jeanne Stranart assistée de Florence Naugrette
a) Cette mention notée en haut de la feuille ne permet pas d’identifier le copiste.