Penaillon : Juliette emploie ce mot qui signifie « haillons » pour désigner à la fois ses vieux vêtements et les marchands d’occasions, et crée le néologisme « penailler », qui signifie chiner dans leurs boutiques. En 1841, elle emploie même ce mot, la « Penaillon » pour désigner son ouvrière Pauline qui vient de temps à autre chez elle pour repriser de vieux vêtements ou en confectionner de nouveaux. Elle l’appelle ainsi pour symboliser la fainéantise et l’inefficacité qui caractérisent la plupart du temps cette « affreuse couson ».