6 octobre [1836], jeudi soir, 5 h. ½
Je t’aime, voilà qui est bien vrai, je t’aime. Le reste de ce que je suis ou de ce que je sens, je ne le comprends pas. Je ne sais pas. Je sais vaguement que je souffre, que je suis irritable. Mais je sens toujours au-dessus de ma mauvaise nature et de ma mauvaise position, que je t’aime, que je t’aime au-dessus de tout. Mais toi, mon noble, mon bien aimé, mon sublime patienta
BnF, Mss, NAF 16328, f. 15
Transcription de Claudia Cardona assistée de Florence Naugrette
a) La suite de la lettre est manquante.