26 juin [1838], mardi soir, 5 h. ½
Je ne t’en veux pas, je ne suis pas de mauvaise humeur, je suis triste et je te désire. J’ai envoyé tout à l’heure Suzette chez les Lanvin avec un bout de lettre où je demandais des nouvelles quelconques de M. Pradier. Voici la réponse : depuis trois semaines on y va presque tous les jours sans pouvoir le rencontrer. Quanta à Mlle Hureau on ne veut y aller que lorsqu’on aura une réponse satisfaisante de M. Pradier. Je crains qu’on ne l’attende encore longtemps. Je suis vraimentb
BnF, Mss, NAF 16334, f. 314-315
Transcription d’Armelle Baty assistée de Gérard Pouchain
a) « quand ».
b) La lettre s’arrête ainsi.