Paris, 26 février 1880, jeudi matin, 8 h.
Je ne veux pas laisser passer cet anniversaire mémorable, entre tous, sans le saluer avec attendrissement et avec respect. Je souhaite qu’il se renouvelle encore bien longtemps et qu’il te donne, par surcroit de ta gloire, tous les bonheurs auxquels tu aspiresa et auxquels tu as droit. Que Dieu te conserve et te bénisse.
[Adresse]
Monsieur Victor Hugo
BnF, Mss, NAF 16401, f. 60-61
Transcription de Blandine Bourdy et Claire Josselin
a) « aspire ».