SIMBOZEL Louise : Femme d’un condamné à la déportation (pour avoir pris part à l’insurrection du 18 mars), elle implore l’aide de Hugo dans une lettre qu’elle lui adresse le 1er février 1876, afin d’empêcher le départ du convoi de déportés prévu pour le 1er mars. Le lendemain, Hugo lui promet d’intercéder pour empêcher ce départ, et lui laisse espérer la prochaine amnistie. Le 7 février 1876, il écrit en ce sens au Président de la République. En vain. Louise Simbozel est invitée à dîner chez Hugo en juillet 1877. L’année suivante, ce dernier lui dédicace ainsi son portrait gravé par Frédéric Régamey : « À Madame Simbozel, courageuse femme d’un vaillant proscrit. »