Paris, 28 juillet [1880], mercredi matin, 8 h.
Cher bien-aimé, béni soit le sommeil qui te repose et entretient ton admirable santé. J’en remercie Dieu en le priant de te garder ainsi pendant un grand, grand nombre d’années pour la plus grande gloire de la France et pour le plus grand bonheur de l’Humanité. J’ai lu tout à l’heure dans Le Siècle qu’on t’a envoyé hier un excellent article d’Edmond Texier sur l’édition définitive (ne varietur) de ton œuvre sublime. Il faut que tu l’en remercies et que tu (...)