[Datation illisible]
Cher bien-aimé, pardonne-moi l’insuffisance de mon esprit si peu digne de mon amour ; écoute ma prière qui les résumea toutes, depuis celle de la mère jusqu’à celle de l’amante, rejette loin de toi toutes les séductions malsaines, toutes les habitudes dangereuses, tous les plaisirs funestes. Contente-toi du tranquille et radieux bonheur d’être divinisé par tout le monde et par moi.
BnF, Mss, NAF, 16399, f. 220
Transcription de Chantal Brière
[Guimbaud, Souchon]
a) « résumes ».