J’ai le cœur plein de tristesse. Je souffre au point de ne pouvoir pas me plaindre.
J’ai plus besoin de pleurer que d’écrire. Ainsi, bonsoir, bonne nuit, dors bien – Demain, je te sourirai –
Juliette
Mercredi, 2 h. du matin
[Adresse]
Pr toi
BnF, Mss, NAF 16322, f. 233-234
Transcription de Jeanne Stranart assistée de Florence Naugrette