CASTANET Adeline : En 1848, cette ouvrière reçoit le prix Monthyon décerné par l’Académie française, pour avoir recueilli à son domicile deux orphelins à la suite du décès de leur mère. Ce prix de vertu récompense des actes nobles, généreux et modestes. M. de Monthyon, magistrat, frappé de l’oubli où la société laisse ensevelies les actions les plus honorables d’individus de rang inférieur, a laissé à l’Académie française par son testament, un capital important dont les intérêts servent à récompenser les actions vertueuses.