GUAY Jacques : Adepte des théories communistes de Cabet, il est candidat à la Constituante, mais est battu. Ayant résisté au coup d’État à Niort, il est condamné par contumace à la déportation en Algérie. Il se réfugie à Jersey, où il exerce son activité de cordonnier et bottier, définissant ainsi son état dans le journal des proscrits L’Homme : « Faiseur de bottes sans coutures, 15 Colomberie St., Saint-Hélier, Jersey ». Le couple Guay apporte un soutien précieux à Juliette, notamment dans ses recherches de logement, se montrant très hospitalier avec elle.