15 novembre [1836], mardi soir, 4 h.
Mon adoré je suis bien malade. Ça ne sera rien, mais la crise est douloureuse. Je ne peux pas t’écrire autant que je le voudrais mais je t’aime.
Je t’aime trop. Pardonne-moi cet excès.
Juliette
[Adresse]
A mon cher bien aimé TOTOa
BnF, Mss, NAF 16328, f. 136-137
Transcription de Claudia Cardona assistée de Florence Naugrette
a) Adresse figurant au recto de la lettre, dont le verso est le texte même.