Déjeuner : dans certains contextes, « déjeuner » semble être un nom de code entre les deux amants pour désigner d’autres plaisirs charnels que le seul repas. Ainsi, dans la lettre du 20 mai 1837, elle précise : « par déjeuner, je m’entends ». Pour signaler ce sens secret, Juliette, le plus souvent, souligne le mot ou l’écrit en grosses lettres.