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Édition des Lettres de Juliette Drouet à Victor Hugo - ISSN : 2271-8923

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Guernesey, 9 octobre 1856, jeudi matin, 7 h. ¼

Bonjour, mon cher petit bien-aimé, bonjour, mon ineffablement bon adoré, bonjour. Je vous défends de me parler mais je veux que vous m’aimiez ou je vous fiche des coups. En attendant, je viens d’écrire à l’affreux centenier [1], comme il s’intitule lui-même, ce brave Jersiais si digne de ne pas l’être. [illis.] Il était temps, depuis huit jours que j’ai reçu son paquet demandant un accusé [de] réception tout de suite. Je lui ai fait ta commission pour Béghin, lui laissant le choix de ta part de tirer à vue sur toi pour la somme de cent cinq francs ou de se la faire rembourser par ledit centenier Philippe.a

Bnf, Mss, NAF 16377, f. 248
Transcription de Mélanie Leclère assistée de Florence Naugrette

a) Il manque la fin de la lettre.

Notes

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