Guernesey, 15 juillet [18]63, [illis.]
[première page quasiment illisible – on lit ici ou là quelques mots : dit le proverbe / en matière de / avant que le jour ait tout à fait disparu / je te gribouille / chère petite / je t’aime /]
[page 2]
[consommation ?] des siècles. OH ! QUE TU ES BON ! COMME C’EST BON D’ÊTRE BON COMME TU ES BON. [Comme je suis heureuse ?] de t’aimer en dehors de [la ?] belle chambre, des beaux dessins, du beau miroir, de la belle glace et de [lignes illisibles]. Je [renonce ?] à ton [illis.] parce que tout ce que je pourrais dire ne serait que de vagues paroles [une ligne illisible] aussi je trouve plus court et plus simple de t’aimer d’arrache-cœur et à tire d’âme et jusque par-delà le paradis. J’espère que la promenade t’a [illis.] et que tu auras fait
[page 4quasiment illisible – on lit ou croit lire :]heureuse / n’attend rien et / en pensant à ta bonté angélique que j’en ai / ce soir le boire et le manger. Du reste je me porte très bien
BnF, Mss, NAF 16384, f. 187
Transcription de Gérard Pouchain