Paris, 13 juillet [18]77, vendredi matin, 7 h.
Cher bien-aimé, je t’envoie mon bonjour le plus tendre avec l’espoir qu’il te trouvera encore endormi. Quant à moi, j’ai très peu et très mal dormi, mais je vais très bien. Aussi, je voudrais me débarrasser au plus vite de mon remue-ménage quotidien indispensable afin de commencer à copier ce matin la table de tes manuscrits, car j’ai reconnu que c’était bien difficile dans la journée et tout à fait impossible le soir [1].
BnF, Mss, NAF 16398, f. 188
Transcription de Guy Rosa