Souris-moi : plaisanterie de Hugo à Juliette, qu’elle reprend parfois à son compte. Dans sa lettre du 9 février 1841, Juliette fournit une explication à cette demande répétée : « […] je te sourirai de ce bon sourire qui te plaisait tant autrefois et que tu trouves si rare depuis que je te vois à peine quelques minutes par jour ».