30 juin [1840], mardi soir, 7 h. ½
J’allais t’écrire tout à l’heure, mon amour, lorsque la mère de Mme Guérard est encore venue m’annoncer sa fille pour demain et reprendre son parapluie. Cette pauvre vieille femme aime à jaboter et j’ai eu la complaisance de me prêter à sa manie. Enfin elle vient de s’en aller et je me mets à t’écrire dare-darea afin de te prouver que ce n’est pas ma faute quand je suis en retard. J’ai fini de chercher mes cheveux blancs, je suis enfin digne de poser devant tous les soleils du (...)